Chapitre 13: En pleine tempête

Publié le par Castiel- Chloé fiction AS

*NOTE : Vous savez tous que le chiffre 13 est pour les superstitieux le chiffre porte-malheur. Ce chapitre sera donc, pour cause, un chapitre assez malchanceux pour notre héroïne et plus long. Ceci est le début d’une suite de chapitre assez durs, donc préparez vous.
 
PDV Debrah :
 
Louise : Ça va aller, je suis sûre qu’elle ne pensait pas ce qu’elle disait.
Moi : Nan, tu aurais vu la manière dont elle me l’a dit. Bouhouhou, je voulais juste devenir son amie moi.
Je pleurais à chaudes larmes. Ils n’y voyaient que du feu. C’est tellement facile de faire croire ce qu’on veut aux gens. Il suffit de verser quelques larmes et le tour est joué.
Guillaume : Mais je ne comprends pas pourquoi elle t’a dit ça. Ça ne lui ressemble pas !
Louise : Ou alors c’est nous qui ne la connaissons pas bien.
Annick : Non, c’est pas du tout son genre. Je la connais depuis longtemps, et jamais elle ne dirait un truc comme ça, sauf si on la cherche ou qu’elle te déteste.
Bon celle-là sera plus difficile à amadouer, d’autant plus qu’elles sont meilleures amies. On va devoir sortir le grand jeu.
Moi : Mais non je ne l’ai même pas cherché ! Je voulais juste discuter avec elle quand elle m’a lâché toutes ces horreurs. Et après elle m’a dit de ne plus approcher Castiel, ou j’aurais à faire à elle. J’ai tellement peur. Elle m’a dit de ne pas le faire, mais il faut que je le voie, je… je l’aime !
Et pour enfoncer le clou, je me jetai dans les bras de Louise en pleurant toutes les fausses larmes de mon corps. Je devrais penser à devenir actrice, je suis sûre que je pourrais faire carrière. Et comme je m’y attendais, mon final marcha du tonnerre.
Louise : Chut, tout va s’arranger tu vas voir. On va aller lui parler et mettre les choses au clair. Allez sèche tes larmes ma belle.
Elle me relâcha, et tous les trois s’en allèrent en direction que la cour. Hahaha quelle bande d’idiots ! Seule Annick semble sur ses gardes, mais plus pour longtemps. C’était presque trop simple. Maintenant, il ne reste plus qu’à convaincre Castiel, et le tour sera joué. Et cette petite sotte ne pourra rien faire avec tous ses amis à dos. Bientôt mon plan fonctionnera et à moi la gloire ! Mais j’aurais besoin d’un petit coup de main.
Chapitre 13: En pleine tempête
Fin PDV Debrah
PDV Castiel :
 
Où elle est ? Fais chier, je vais pas la chercher partout quand même. Ok elle est sympa mais là elle abuse ! Menacer Debrah c’est trop ! Même si elle ne l’aime pas, c’est pas une raison. Nan mais qu’est ce qui lui a pris ? J’espère qu’elle a une bonne raison sinon elle va m’entendre. Putain mais où est-ce que… ah ça y est ! Je me précipitai vers mon amie qui arrivait de je ne sais trop où, et la saisit par le bras.
Chloé : Hey ! Lâche-moi ! Qu’est-ce qu’il te prend ?
Moi : Tais-toi
Je la tirais à travers le lycée jusqu’au toit, où je consentis à la relâcher. Je m’approchai du bord du toit. Bon Castiel mon vieux, calme toi. Vas-y doucement sinon ça va mal se terminer. Sans me retourner, je la questionnai.
Moi : Pourquoi t’as fais ça ?
Chloé : Pourquoi j’ai fais quoi ?
Moi : Arrête de nier. Debrah m’a tout raconté. Pourquoi tu l’as menacée ?
Chloé : Pourquoi je l’ai menacée de quoi ? Je comprends rien à ce que tu me dis !
Je me retournai furax. Ça y est, j’ai perdu mon sang-froid.
Moi : Arrête de faire comme si tu savais rien bordel ! Je sais tout, elle m’a tout raconté. Pourquoi tu l’as menacée de lui régler son compte si elle m’approchait ?
Chloé : Mais je ne l’ai jamais menacée de quoi que ce soit ! Ok c’est pas l’envie de lui interdire de t’approcher qui me manquait, mais je l’ai pas fait. Te laisse pas avoir Cast, elle est pas si fragile ta Debrah. Elle nous, ou plutôt elle TE mène en bateau, et ce depuis l’époque où vous étiez ensemble. C’est elle qui t’a fait virer, et elle s’est servie de toi pour…
Moi : La ferme ! Jamais elle n’aurait fais ça, tu mens !
Je ne voulais pas entendre la suite, et encore moins la croire. Pourquoi Debrah aurait-elle fait ça ? Non c’est impossible, Chloé ment forcément.
Chloé : Et comment peux-tu être sur que je mens ? Tu étais là quand on discutait ?
Un point pour elle. Mais comment savoir qui croire ?
Chloé : Est-ce que je t’ai, ne serais-ce qu’une seule fois, mentie ?
Deux points. Non, elle ne l’avait jamais fait. Je restai muet face à la question. Mais ce n’était pas fini pour autant.
Moi : Ok tu ne l’as pas menacée, je veux bien croire ça. Mais tu l’as quand même insultée, et pour ça je t’en veux.
Chloé : L’insulter ?! Et si elle t’avait dis que je l’avais battu, tu l’aurais cru aussi ?! Je te croyais pas si naïf Castiel !
Là c’était la goutte qui faisait déborder le vase. T’as poussé le bouchon trop loin là Chloé. Je me dirigeais à grands pas vers elle et la plaquai furieusement contre le mur.
Moi : Je ne suis pas naïf merde !
Chloé : Si tu l’es ! Sinon tu aurais remarqué qu’une fille qui revient en te faisant les yeux doux après t’avoir plaqué pour sa carrière est forcément louche !
Moi : Non, j’aurais fais pareil.
Chloé : Non, tu n’es pas comme ça…
Moi : Qu’est ce que tu en sais ? Tu ne sais rien de moi et de comment j’étais avant ! Tu n’étais pas là, tu ne peux pas comprendre.
Chloé : Oui je n’étais pas là c’est vrai. C’est pour ça que je peux te donner un avis objectif. Alors arrête de te voiler la face et écoute moi merde !
Moi : Mais qu’est-ce que tu comprends pas ? Je m’en fous ton avis !
J’étais au bord de l’explosion. Elle croit me connaître, savoir comment je suis, mais elle ne sait absolument rien. Elle n’a pas le droit de se mêler de ma vie. Je n’ai pas besoin d’une nounou sur mon dos. Nous nous regardions droit dans les yeux. Chloé ne semblait pas intimidée ou effrayée. On aurait dit qu’elle aussi était en colère. Mais pourquoi ? Pourquoi veut-elle tant que ça que je  n’approche pas Debrah ? Que sait-elle que je ne sais pas ?
Chloé : Très bien !
Elle me repoussa pour se dégager et quitta le toit en faisant claquer la porte derrière elle.
Moi : MERDE !!
Chapitre 13: En pleine tempête
Je donnai un grand coup dans le mur. Je voulais pas que ça se termine comme ça. Je sais plus qui croire. Une ex qui prétend encore m’aimer et qui m’offre une chance de carrière, ou une amie qui à toute évidence ne cherche qu’à m’aider ?
 
Fin PDV Castiel
PDV Chloé :
 
Non mais quelle tête de mule ! Plus borné que lui tu meurs. Le mec je fais tout pour lui éviter des ennuis, et lui il m’envoie bouler. S’il voulait bien m’écouter, il verrait que sa chère ex petite-amie n’est pas ce qu’elle prétend être. Mais on dirait qu’il n’est qu’un pantin entre ses mains. Ça vaut pour lui aussi bien que pour les autres. Ce que j’ai envie de faire là tout de suite ? Le laisser se démerder comme un grand et le laisser suivre sa chérie. Et quand il reviendra une fois qu’il aurait vu que c’était qu’une pute, je lui dirais : « Je veux pas dire que je te l’avais bien dis mais… je te l’avais bien dis ! ». Et là il serait obligé de se rendre compte que j’avais raison depuis le début… ouais mais non. Je ne veux pas faire ce plaisir à Debrah. Et puis même si je le voulais, je ne pourrais pas le faire. Bon maintenant, il me faut un plan. Mais je ne peux pas agir seule. Mais à qui est-ce que je pourrais demander de l’aide ?
Rosa : Hey Chloé, t’étais passée où ?
Je vis arriver mes seuls amis restés fidèles, à savoir Rosa, Lys et Nath. En les voyant, le sourire me revint. La voilà ma cavalerie !
Lysandre : Oulah, à chaque fois que tu as ce sourire, tu as une idée bizarre.
Moi : Hein ? Mais naaaaaan voyons pas du tout ! (pensée : Comment t’as deviné ?) Mais ce qui est sur, c’est que je vais avoir besoin de votre aide.
Rosa : Toi, je te vois venir. Ça va pas être du gâteau, mais je te suis.
Lysandre : Également.
Nath : J’avoue ne pas trop savoir quoi faire, mais je suis avec vous.
Moi : Merci les amis.
Rosa : Je n’ai pas encore de plan, alors le temps d’en trouver un, tiens toi tranquille.
Moi : Je serais un vrai petit ange, promis ! Maintenant veuillez l’excuser, mais l’ange doit rentrer dans sa demeure de lumière pour se reposer.
Rosa : Tu parles de toi à la 3e personne maintenant ? x)
Moi : Oui. Étant un ange, Chloé a décidé qu’elle ne pouvait plus parler d’elle-même à la 1ère personne comme les simples mortels. L’ange vous salut.
Je fis la bise à mes amis en rigolant, puis me dirigeai vers le portail pour sortir du lycée. J’allais le franchir quand on m’interpella. Je me retournai et vis Louise et Guillaume arriver vers moi. Ils avaient l’air assez remontés. Ça va encore être ma fête.
Moi : Oui ?
Guillaume : Comment t’as pu faire ça ? Je te croyais pas comme ça !
Moi : Je vous le répète, je n’ai rien fait ! Je ne l’ai jamais insultée !
Louise : Mais il n’y a pas que ça ! Tu l’as aussi menacée, c’est beaucoup plus grave !
Moi : Je n’ai fais ni l’un, ni l’autre merde !
Louise : Écoute, si tu allais t’excuser, peut-être qu’elle te pardonnerait, et… nous aussi.
Moi : Je n’irais pas m’excuser pour quelque chose que je n’ai pas fais. Maintenant si vous ne me croyez pas, et bien nous n’avons plus rien à nous dire.
Je me retournai et m’apprêtai à sortir. Merci beaucoup, c’est beau l’amitié ! S’ils préfèrent croire l’autre là, c’est leur problème. Une main se posa doucement sur mon épaule.
Louise : Je ne te reconnais plus.
Moi : Les seuls qui ont changés ici, c’est vous, mais vous ne vous en rendez même pas compte.
Elle enleva sa main et me laissa m’en aller. C’est dingue comment le retour d’une seule personne peut changer vos amis. Mais je ne peux pas totalement leur en vouloir. Ils sont amis avec elle, et ont confiance en elle. Et elle se sert de cette confiance, pour les mener en bateau. Et cela me rendait triste. Mais je ne devais pas m’apitoyer. S’ils ne voulaient plus me parler, et bien soit. Mais ça ne me détournerait pas de mon objectif.
Le lendemain, je revins au lycée avec un plan en tête.
Moi : Salut la compagnie
Tous : Salut.
Lysandre : Alors du nouveau ?
Moi : Peut-être. Je vous tiens au courant.
Je voulus partir mais on me retint par le bras.
Nath : Ne fais pas n’importe quoi, elle pourrait le retourner contre toi.
Moi : T’inquiète pas je sais ce que je fais.
Je lui souris, et pénétrai dans le lycée. Bon, où est-ce qu’elle peut bien se cacher ? Parce que le lycée est quand même grand et je vais pas m’amuser à la chercher partout. Je me rendis devant notre salle. Avec un peu de chance, elle s’y trouvait déjà. Et j’avais visé juste, je la vis entrer discrètement dans la salle. Bon, c’est maintenant ou jamais. Je sortis mon téléphone et mis en marche l’enregistreur. Je soufflai un grand coup et rentrai dans la salle comme si de rien était. Je fermai la porte et en me retournant je fis semblant d’être surprise de voir Debrah ici.
Moi : Debrah ? Mais qu’est ce que tu fous là ? Le cours a pas commencé.
Debrah : Je pourrais en dire autant de toi.
Moi : Je voulais voir la prof.
Bon maintenant arrête de faire ta gentille. Tu ne l’aime pas, elle t’aime pas, alors prend un visage froid pour que ce soit crédible. Je regardai Debrah avec toute la haine que je pouvais. Allez parle. Dis quelque chose. Insulte moi, dis moi tes plans, moque toi de quelqu’un, tout ce que tu veux mais il me faut un truc. Puis Debrah se mit à me sourire assez méchamment.
Debrah : Alors Chloé, comment vas-tu depuis la dernière fois ? Je suis désolé pour Louise et Guillaume.
Connasse. Et en plus elle remue le couteau dans la plaie.
Moi : Et moi donc.
Debrah : J’espère que tu n’es pas trop déçue ? Parce que tu vois, j’ai…
Elle se coupa en plein milieu de sa phrase. Pourquoi tu t’arrêtes ? Allez continue ! Elle fixait ma poche, celle où se trouvait mon téléphone. Merde, je l’ai pas assez enfoncé. Sans que je comprenne quoi que ce soit, elle se jeta sur moi, prit mon téléphone et coupa mon enregistrement.
Debrah : Raaa tu voulais me piéger, enfoirée. Et je dois dire que ça a failli bien marcher ! Tu es décidément plus maline que je le pensais.
Moi : Trop aimable
Shit, j’aurais dû enfoncer le téléphone, mais j’avais eu peur qu’on n’entende rien par la suite. Et maintenant mon plan est tombé à l’eau, je n’ai plus rien pour prouver mon innocence. Oui bon ça fait très film policier tout ça, mais bon. Je suis toujours une victime et elle la coupable. Soudain, Debrah se remit à sourire.
Debrah : Halala ma pauvre, si tu savais le nombre de personnes qui ont tenté de me faire ce coup. Même si je dois avouer que tu étais plutôt crédible. Mais pas assez discrète. Je penserais peut-être à te donner des cours un de ces jours.
Moi : T’embêtes pas, devenir une salope comme toi ça m’intéresse pas.
Debrah : Quel dommage. Enfin bref, comme tu m’as bien amusé, je ne ferais rien cette fois-ci.
Elle me rendit mon téléphone. Puis elle se rapprocha de moi avec regard plein de haine et de méchanceté.
Debrah : Mais si tu recommence, je m’assurerais personnellement que Castiel et tous tes amis te haïssent du plus profond de leurs âmes.
Elle me menaçait. Et je me doutais qu’elle était loin de bluffer. Sur ce, elle quitta la salle. Et merde ! J’ai tout foiré comme d’habitude. Je la tenais mon occasion, et j’ai gaffé. Mais si elle croit qu’elle me fait peur, elle se fout le doigt dans l’œil. Je vais pas me laisser intimider par une menace, ce serait trop simple. Je l’aurais un jour, je l’aurais (c’est la maaf XD) ! Je sortis dépitée de la salle, et allai retrouver mes amis en trainant des pieds et en bougonnant.
Lysandre : Hum à ta tête je suppose que ça n’a pas marché.
Moi : Pff
Nath : Explique
Moi : Je voulais l’enregistrer mais elle a vu mon tel. Je suis trop deg quoi, pile au moment où elle allait commencer à parler. Pff fais chier !
Rosa : T’inquiète, on trouvera autre chose.
Moi : Mouais…
Le reste de la matinée ce déroula lentement. Les cours, le regard menaçant et le sourire machiavélique de Debrah qui s’est lié d’amitié avec Capucine (ça sent le coup foireux à plein nez), Castiel qui me fait la gueule, Louise et Guillaume qui m’évitent. Et tout ça avec un moral près des 15%. Sinon à part ça, tout va à peu près bien. À la fin des cours, on se retrouva tous les 4 devant le portail.
Rosa : Bon, je propose qu’on se retrouve à 15h à la boutique de Leigh pour discuter. On sera tranquille là-bas.
Tous : Ok
Rosa : Chloé, tu viens manger à la maison ?
Moi : No problemo
On se dirigea donc vers le parking. Je montai sur la moto et attendis que mon amie monte. Sauf qu’elle resta figée.
Rosa : Je monte pas dessus !
Moi : T’as pas le choix, je vais pas la laisser là. Allez grimpe tu crains rien.
Rosa : Mais j’ai pas de casque !
Moi : Prends le mien.
Rosa : Et toi ?
Roo, c’qu’elle peut être chiante de temps en temps quand même.
Moi : Discute pas, monte ! Et si on a un accident, ce sera tant pis pour moi. Maintenant arrête ton chichi.
Je lui tendis mon casque qu’elle prit en bougonnant. J’attendis qu’elle s’installe derrière et qu’elle s’accroche à moi pour démarrer. Ah ba c’est pas trop tôt, j’ai cru qu’on allait y passer la nuit ! À chaque fois que je donnais  un coup d’accélérateur, elle me serrait plus fort, jusqu’à me couper  la respiration. J’aimerais bien vivre encore un peu Rosa steu plaît! Je réussis malgré tout à arriver vivante chez elle. En me levant, je crus que mes côtes étaient toutes cassées.
Rosa : Nan mais t’es folle de rouler aussi vite ! J’ai cru mourir cent fois !
Moi : Et moi j’ai cru que t’allais me briser les os. Et puis t’exagères. Je roule normalement.
Rosa : Normalement ?! On se serait cru sur un circuit !
Moi : Ba je te conseille pas de monter derrière Castiel alors…
Rosa : Oh ça, ça risque pas. J’aurais trop peur de mourir et lui que j’abime sa chère moto. En parlant de lui, t’as de ses nouvelles ?
Moi : Nan, nada. Silence radio. Il doit m’en vouloir d’avoir soi-disant blessé sa chérie, comme les autres. Enfin bref.
Rosa : Mouais t’inquiète. Allez viens, j’ai la dalle.
Moi : Et moi alors, je pourrais avaler un éléphant !
Rosa : Hum, on a épuisé le stock d’éléphants.
Moi : Y a de l’antilope ?
Rosa : Nan
Moi : De l’hippo ?
Rosa : Nan XD (Auteur : Seuls les vrais reconnaîtront ces phrases).
Moi je dis : vive Disney !! Nous pénétrâmes dans l’immense maison de Rosa et courûmes à la cuisine. Là, on mangea de bons gros hamburgers. Deux steaks, deux cheese, sauce moutarde, bacon et une feuille de salade pour la bonne cause. C’était juste EX-CE-LLENT !!
Rosa : Pffiou, je suis pleine !
Moi : Moi j’ai encore un peu d’place
Rosa : Fais gaffe, après tu sais où ça descend :p
Nan mais c’est pas possible ! À croire que tout le monde la connais et va me la faire cette vanne ! En gros, elle sous-entend que tout ce que je bouffe va dans mes fesses.
Moi : Ouais ba ça te ferais pas de mal d’avoir un peu d’rembourrage toi. Tu devrais essayer ça te ferais pas de mal.
Rosa : T’insinue quoi là ?
Moi : Moi ? Rieeennn voyons ^^
Rosa : Mouais… N’empêche que t’as pas tout à fait tort.
Enfin voilà je vais vous épargner nos discussions fessières, parce que je doute que ça vous intéresse (à part peut-être les mecs. Bande de pervers XD), et puis c’est assez bête. Mais on a pas parlé que de ça hein. On a aussi parlé de poitrines. Oui bon j’avoue c’est pas vraiment mieux XD. Grâce à Rosa, mon moral est remonté.
Puis vint l’heure du rendez-vous avec les mecs. Nous décidâmes de partir un peu plus tôt parce que Rosa tenait absolument à ce que je m’achète quelque chose.
Moi : Allez 2ème round
Rosa : T’es sérieuse quand tu dis ça ?
Moi : Faut bien que je rentre après moi.
Rosa : Oh mama…
10 min plus tard
Rosa : MAIS T’ES COMPLETEMENT FOLLE !!
Moi : Hahaha !!
Rosa : Tu veux ma mort ou quoi ? Je vais te…
Je rentrai dans la boutique morte de rire laissant mon amie qui me traitait de tous les noms dehors.
Leigh : Bonjour, puis-je… oh Chloé
Moi : Salut Leigh
J’allai le saluer au comptoir.
Leigh : Alors qu’est ce qui t’amènes ?
Moi : On a rendez-vous avec Lys et Nath ici, et disons que ta charmante petite-amie m’a fait comprendre très gentiment que je devais faire du shopping.
Leigh : Haha elle ne t’a pas laissé le choix je parie ? x)
Moi : En plein dans le mile. Mais au moins ça me donnera l’occasion de visiter ta boutique.
Leigh : J’espère que t’y trouveras ton bonheur
Moi : J’en suis sure
À ce moment, une furie déboula dans la boutique
Moi : Oups, c’est le moment de fuir là
Je filai me cacher derrière le comptoir à côté de Leigh.
Leigh : Coucou ma chérie
Rosa : Elle est où ?
Leigh : Qui ça ?
Rosa : L’autre sauvage
Leigh : Il s’est passé quoi ?
Rosa : Elle a accéléré comme une malade dans une pente. Elle devait être à 100km/h !!
En me rappelant ce moment mon fou rire me reprit de plus belle.
Moi : J’étais à peine à 70
Rosa : C’est pareil !
Moi : Allez pour me faire pardonner, je te laisse choisir des habits
Rosa : Mouais. Ça va pour cette fois.
Ouf sauvé. Elle bougonna encore un peu, puis en parcourant les rayons, son sourire revint rapidement. Et c’est peu dire, son hystérie refit surface d’un coup.
Rosa : Oh ça, je suis sure que ça va t’aller. Oh et puis ça aussi, c’est mignon. Et ça…non c’est bizarre.
On aurait dit qu’elle découvrait la boutique pour la première fois.
… ?: Rosa et sa folie du shopping.
Je me retournai et vis Nath qui souriait.
Moi : Ça je te le fais pas dire. Et le pire, c’est que c’est moi sa victime.
Nath : Ba dis toi que tu as au moins 5 tenues à essayer. Et encore c’est le grand minimum
Moi : C’est très encourageant tout ça…
5 minutes plus tard, Rosa revint les bras chargés d’habits. Nathaniel me souffla un « bonne chance ». Je crois en effet que je vais en avoir besoin.
Voici le résultat de mes essais : trop fifille, trop kitch, trop sexy, pas assez, trop gothique et j'en passe.
Moi : Écoute Rosa je t’adore mais la j’en ai vraiment assez. J’en peux plus !
Rosa : Juste une dernière je t’en pris.
Nath : C’est la 3ème fois que tu le dis.
… ?: Salut la compagnie !
Rosa : En retard Lys
Lysandre : Désolé, j’avais perdu mon carnet.
Tous : Pour changer
Lysandre : Je vois que tu as gouté au shopping avec Rosa x)
Moi : Oui et c’est la première et dernière fois.
Rosa : Mais oui bien sur je te crois. Allez, file essayer l’autre tenue
Moi : Mais…
Rosa : Zou !
Je vais craquer, je sens que je vais craquer. La prochaine fois, je fais mon shopping SEULE. Tu as compris Rosa ? SEULE !! Ouais bon bien sur tu m’entends pas puisque je pense. Ça a vraiment intérêt à être la dernière tenue sinon je pète un plomb. Quand je sortis de la cabine, Nath, Rosa et Lysandre se regardèrent d’un air entendu.
Nath, Rosa, Lysandre : PAR-FAIT !
Moi : WOUH ! Enfin !
Lysandre : Cette tenue te va à ravir.
Par contre sans le chapeau parce qu'avec ma touffe ça rentre pas XD

Par contre sans le chapeau parce qu'avec ma touffe ça rentre pas XD

Moi : Merci ^^
Je retournai dans la cabine mettre mes vêtements, et sortis rejoindre les autres.
Rosa : Bon, maintenant passons aux choses sérieuses. Qu’est-ce que tu comptes faire ?
Moi : Franchement, je n’en ai aucune idée
Nath : Avant d’agir, il faudrait d’abord connaître ses intentions.
Rosa : Sur. Il faudrait l’espionner pour savoir ce qu’elle mijote.
Moi : Et pas seulement elle. Maintenant, elle traîne avec Capucine.
Lysandre : Elle se fait des alliés c’est compréhensible. Il faudra rester plus vigilant maintenant.
Rosa : Ouais. Bon voilà ce qu’on va faire : moi, Lys et Nath, on va tenter d’en savoir plus, le temps de trouver un plan. Quant à toi, essaie de ne pas te faire remarquer.
Moi : Bien chef
Je partis payer Leigh, saluai mes amis puis rentrai chez moi. Passer du temps avec mes amis m’avait fait du bien. Je me sentais prête pour la journée de demain. Mais si j’avais su ce qu’aurait été cette journée, et même avec un moral d’acier, je serais restée chez moi.
Le matin tout s’est bien passé, et rien ne me paraissait anormal. Mais c’est l’après-midi que tout a dérapé. Alors que je sortais des WC, la dirlo fit une intervention au haut-parleur.
Directrice : Melle Devis, dans mon bureau immédiatement !
Hein ? J’ai fais quoi ? C’est pas normal ça. Sur le chemin du bureau de la dirlo, je remarquai que plusieurs élèves me regardaient bizarrement et chuchotaient entre eux à mon passage. Ça sent pas bon cette affaire. À tous les coups c’est du made by Debrah.
TOC TOC
Directrice : Entrez
J’entrai dans le bureau. Et là qui est-ce que je vois ? Une Debrah trempée et une Capucine qui me regardait avec un sourire machiavélique. Je ne sais pas ce qu’elle s’est prise sur la tête mais en tout cas ça pue. Et puis à côté, une directrice qui paraissait folle de rage.
Directrice : Pouvez vous nous expliquer ce qu’il se passe ?
Moi : Je vous avoue que j’aimerais bien le savoir aussi madame.
Directrice : Ne jouez pas à ce jeu là avec moi ! Pourquoi avez-vous renversé un seau d’eau sur Melle Debrah ?
Alors c’était donc ça, le coup qu’elle préparait. Sa petite vengeance à cause de ma tentative d’hier. Bravo, pas mal.
Moi : Je n’ai rien fait ! Quand vous avez fait l’annonce je sortais des WC, je pouvais pas être à deux endroits à la fois.
Capucine : Arrête de dire n’importe quoi ! Je t’ai vu à la fenêtre, on t’a tous vu !
Moi : Ba écoute soit t’as halluciné soit t’as une très mauvaise vue, parce que c’était pas moi.
Directrice : Bon ça suffit ! Melle Chloé, vous avez une heure de retenue samedi.
Moi : Quoi ?! Mais j’ai rien fait je vous le promets ! C’est…
Directrice : Ça suffit ! Sortez ou je double le nombre d’heure !
Non mais j’hallucine là ! J’en croyais pas mes oreilles. Ces deux pouffiaces avaient réussi à amadouer la dirlo. Moi qui ne m’étais jamais fait punir, je venais de me prendre une heure de colle pour un truc que j’avais pas fait. Mais que fait la police ? Où est la justice là ?! Oh si j’avais pu, j’aurais traité de tous les noms Debrah, mais cela ne m’aurait apporté que plus d’ennuis. Je sortis donc du bureau en claquant la porte. Il y avait foule devant le bureau de la directrice. Le quart du lycée devait être là, à essayer de savoir ce qu’il se passait.
Moi : Un problème ?
Ils baissèrent tous les yeux et se dispersèrent. Dîtes quelque chose à un, tout le monde sera au courant l’heure suivante. C’est bien le lycée, mais le seul truc chiant c’est que tout le monde connait chaque petit potin. Mais je m’en fichais. Tout ce qui m’importait pour l’instant, c’était de trouver un endroit tranquille pour décompresser et réfléchir. Et le seul que je connaissais, c’était le toit du lycée. Quand j’eu fermé la porte et m’être adossée au mur, je poussai un long soupir. C’est bien ma fête aujourd’hui. Oh cette Debrah… je voudrais juste qu’elle retourne là d’où elle vient. D’abord, elle monte mes amis contre moi, puis elle me fait passer pour la méchante aux yeux du lycée. Je vois pas ce qui pourrait encore m’arriver. Et c’est à ce moment précis que la porte s’ouvrit avec fracas et qu’un Castiel enragé se précipita vers moi. Manquait plus ça. On dirait que j’ai pensé trop vite.
Castiel : C’est quoi ton problème ?! Qu’est-ce qui tourne pas rond dans ta tête ?! Soit t’es vraiment conne, soit tu cherches les problèmes.
Moi : Nan mais tu me crois vraiment capable de faire ça ?! J’ai rien fait, je peux te le jurer. J’étais aux chiottes quand la dirlo m’a convoqué.
Castiel : Et tu crois vraiment que je vais gober ça ?
Moi : Tu crois bien tout ce que ta chérie te raconte alors pourquoi pas moi ? Qu’est ce qu’elle t’a dit qui te rende si aveugle ?
Castiel eut l’air d’hésiter quelques instants, puis finalement prit la parole.
Castiel : Elle m’a proposé de jouer dans son groupe.
Alors c’était ça son plan : enrôler Castiel. Mais oui bien sur, j’aurais du y penser plus tôt.
Moi : Et t’as accepté ?
Castiel : Je lui ai pas encore répondu.
Moi : Castiel, t’as pas besoin d’elle pour te faire connaître. Tu as ton propre groupe avec qui…
Castiel : … je devrais encore rester plusieurs années avant de pouvoir espérer trouver un gars assez fou pour croire en nous. Nan mais tu comprends pas. C’est une occasion qui se reproduira pas deux fois ! Et puis je pourrais me casser d’ici.
Moi : Arrête de jouer le gros dur qui a besoin de personne merde ! T’as des amis ici. Et toi tu serais prêt à les abandonner juste pour devenir transparent dans un groupe que peu de gens connaissent. Nan parce que si t’a cru que dans un groupe comme celui de Debrah, on remarquait le petit guitariste, tu t’es foutu le doigt dans l’œil là !
Castiel : Écoute je m’en balance de ton avis ok ?! C’est pas toi qui va me dire quoi faire et puis ça te regarde pas.
Moi : Excuse moi mais un peu quand même. C’est parce que je voulais t’aider que Debrah a monter tout le monde contre moi, alors si, je suis un peu dans l’affaire. Tu te rends pas compte que dès que sa cote de popularité sera remontée, elle te jettera comme la première fois ?  Mais non, je suppose que t’es tellement naïf que tu vois rien. Cast écoute, laisse moi faire, je peux…
Castiel : Quand est-ce que tu vas rentrer ça dans ton petit crâne ? J’ai pas besoin de ton aide ! Ni de toi d’ailleurs !
Mon cœur se serra quand il me dit ça. Ne l’écoute pas, c’est la colère, c’est la colère. Du moins je tentais de m’en persuader.
Castiel : Ok t’es sympa, mais c’est pas pour ça que t’as le droit de te mêler de ma vie ! Parce que je m’en fous de toi, t’es rien pour moi, RIEN DU TOUT !!
Alors c’est ça. Je n’étais qu’une fille « sympa », une fille sans importance. Ça y est je craque. Les larmes me montèrent aux yeux et je ne pus les retenir. J’étais triste, mais aussi terriblement en colère. Il n’avait pas le droit de dire ça.
Moi : Non. Tu… tu peux pas dire ça
Castiel : Si je peux, j’ai…
Moi : T’AS GUEULE J’AI PAS FINI !! Tu ne peux pas dire que je suis JUSTE une fille « sympa ». Pas maintenant. Tu m’as consolé, aidé, laisser monter sur ta moto alors que tu le refuse à Rosa et tu m’as laissé dormir chez toi. Est-ce que tu as déjà fait toutes ses choses avec Rosa, Annick ou Louise ?
J’étais hors de moi. C’était trop simple de dire ça, même sous l’effet de la colère. Je pleurais maintenant à chaudes larmes, de rage et de tristesse. Si quelqu’un pouvait voir l’état de mon cœur à cet instant précis, je ne sais pas s’il verrait grand chose. Cette semaine avait été très dure. J’avais encaissé coup sur coup. J’ai perdu la moitié de mes amis, le lycée me voyait comme une fille jalouse de la populaire Debrah, et puis maintenant le coup final. Mon meilleur ami me balançait à la figure que je n’étais absolument rien pour lui. Et je n’étais pas sure de tenir le coup, ni même de vouloir encore continuer à lutter contre Debrah. C’était comme si toute ma volonté m’avait quittée. Mais c’était loin d’être finit. Castiel se mit à sourire assez méchamment, un sourire que je ne lui avais jamais vu, et que je n’espérais jamais revoir.
Castiel : J’avais pitié de toi.
La phrase. La phrase qui pouvait pousser toute personne à sauter dans le vide. C’était cette phrase là qu’il venait de me dire. J’en croyais pas mes oreilles. Comment pouvait-il me dire ça. Je savais que c’était faux, qu’il voulait juste que j’arrête de l’aider, que je le laisse tranquille. Il ne faisait juste qu’utiliser les grands moyens. Mais même avec cette certitude, j’avais tout aussi mal. Castiel me regardait comme s’il avait gagné. Mais il se trompait. Je me dirigeai vers la porte pour m’en aller. Je mis la main sur la poignée puis je me retournai. Je n’avais pas fini.
Moi : T’es qu’un crétin ! Un imbécile doublé d’un égo surdimensionné ! Mais que tu le veuilles ou non, je vais quand même t’aider. Et je m’en contrefiche si ça ne te plais pas. Maintenant si tu vas avec Debrah, ne viens pas te plaindre après.
Et sur ce, je descendis les marches deux pas deux le plus vite possible, et traversai le lycée comme si j’étais poursuivie. Tellement que je rentrai dans quelqu’un à un tournant. Je baissai rapidement les yeux pour qu’il ne voie pas qu’ils étaient rouges.
Moi : Pardon
… ?: Chloé ? Ça ne va pas ?
Je levai la tête et vis Nathaniel qui me regardait l’air inquiet. J’essuyai rapidement quelques larmes pour qu’il ne se doute rien.
Moi : S-si ça va.
Nath : Ça, ça m’étonnerait. Tu as pleuré. Il s’est passé quelque chose ?
Moi : Ba… je-je viens de me disputer avec Castiel. Et…
Ça y est mes larmes reviennent. En repensant à ce qui venait de se passer quelques minutes plus tôt, je me remis à pleurer. Nath me prit dans ses bras le temps de me calmer. Pourquoi j’avais si mal ? Pourquoi je me sentais obligé de l’aider après tout ce qu’il m’avait dit ? Nath ne dit rien, il me serrait dans ses bras, et ce soutien me fit du bien. Quand je me suis remise, je me reculai lentement, et mon ami essuya mes dernières larmes.
Nath : Je lui ferais payer à cet enfoiré de t’avoir fait pleurer.
Moi : Nan s’il te plait. Ça ne servirait à rien.
Nath : Mouais. Tu veux bien me raconter ce qu’il s’est passé ?
Moi : Bon, je suppose que tu as entendu l’histoire du sceau.
Nath : Oui, tout le monde en parle. Ils pensent que c’est toi.
Moi : Ouais ba c’était pas moi. Quelqu’un à du se faire passer pour moi, et je suis quasi certaine que c’est cette chère Capucine. Enfin bref, grâce à ça, je me suis fait coller samedi.
Nath : Tu veux que j’essaie de parler à la directrice ?
Moi : Non, c’est gentil, mais je ne crois pas que ça changerait quelque chose. Après ça, je suis allé me calmer, mais Castiel a débarqué. Il s’est énervé contre moi. Il a dit que...
Je sentais les larmes revenir. Je fermai les yeux quelques instants, et soufflai pour me contenir. Nath posa sa main sur mon épaule. Allez, tu peux le faire. Je rouvris les yeux et continuai.
Moi : Debrah lui a proposer de rejoindre son groupe.
Nath : … Elle veut recommencer l’histoire.
Moi : On dirait bien.
Nath : Ne t’inquiète pas, on va trouver  une solution. Même si…
Moi : …Ça te dérangerais pas plus que ça de le voir partir c’est ça ?
Nath : Ouais c’est pas faux :p
Je rigolai à sa remarque. Lui et Castiel se détestaient, mais Nath était près à l’empêcher de se faire avoir, sans rancune. C’est vraiment dommage qu’ils ne s’entendent pas.
Moi : Mais s’il partait, tu n’aurais plus personne pour te divertir, et tu aurais moins d’absences et de retards à signer.
Nath : Hum, pas faux. Aller, il se fait tard, tu devrais rentrer.
Moi : T’as raison. Et toi ?
Nath : J’ai encore un peu de paperasse à faire.
Moi : D’accord. Merci beaucoup Nath.
Nath : De rien c’est normal. A demain
Moi : A demain.
Je lui fis un bisou et partis. Discuter avec lui m’avais fait du bien. Heureusement qu’il avait été là. Je rentrai chez moi un peu mieux. En arrivant devant ma maison, je jetai un coup d’œil à celui de mon voisin. J’y vis sa silhouette. Je murmurai un « crétin » dans le vent frais du soir et rentrai chez moi. Et bien, on peut dire que cette journée aura été des plus mouvementées. Et j’avais hâte que tout ça se termine.  Pour me remettre de mes émotions, je me fis un grand chocolat chaud. Et puis mon téléphone sonna. En regardant l’écran, je vis que c’était Rosa. Je décrochai.
Début discussion téléphonique
*Moi : Allo Rosa ?
Rosa : Chérie, j’ai un plan !*
 
________________________________________________
Et voilà le chapitre 13. J'espère qu'il vous a plu ^^
Quel est le plan de Rosa? Va-t-il fonctionner? Et si oui, quelles en seront les conséquences? Vous le saurez dans le chapitre 14 que je posterais probablement dimanche.
Par rapport au sondage, beaucoup de gens souhaitent que je mette des lemons. J'en mettrais donc. Ils n'arriveront pas tout de suite, mais il y en aura promis. ;) Par contre je ne sais pas ce que ça va donner XD
Allez bisous bisous les ami(e)s!
Kiss <3

Publié dans Saison 1

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Commenter cet article
L
Je me demandais aussi quel âge tu avais quand tu écrivais cette fiction ^^ J'ai un an de moins que toi personnellement :) Enfin bon, tout ça pour te dire que ta fiction est vraiment cool et que je prends plaisir à la lire !
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Y
c le roi lion les phrase que ta mis X)
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C
Oui c'est ça, bravo! ;)
L
Le chapitre devait pas sortir dimanche ???
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S
La suite n'était pas pour aujourd'hui?
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C
GOOD !
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C
Thanks ! ;)
J
Pour 15 ans tu écrit super bien! Continue et vite la suite ! ♥
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C
Merci beaucoup ^^
J
j'adore j'ai lu beaucoup de fiction mais la tienne est de loin la meilleure ! J'ai hate de lire la suite ! <3
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C
Merci beaucoup ^^
V
Superbe!! Au fait ta quel âge? Car tu écrit sublimement bien !!
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C
Merci ^^ J'ai 15 ans ;)
M
Coucou alors je commente ta fiction un peu tardivement, mais j'ADORE *_____* elle est juste perf et les personnages sont aux top continue comme ça ma belle ;). Juste nous nous connaissons ;) la suite pour quand ?
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C
Merci ma chérie depuis le temps XD la suite normalement dimanche ;)
L
J'aime !
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C
Merci!