Chapitre 53: Ma première fois
/!\ ATTENTION? CE CHAPITRE CONTIENDRA UN LEMON !! PUBLIC AVERTI ! /!\
PDV Chloé :
La soirée avait été un franc succès. Castiel avait adoré notre surprise et on s’était amusé comme pas possible. J’avais peut-être même un peu trop bu x) Le rouquin avait vraiment eut l’air heureux. Notre mission était accomplie.
Vers minuit et demi, nos amis s’en allèrent, et reprirent la route de leurs maisons respectives. Nous nous retrouvâmes donc seuls, Castiel et moi. Nous rangeâmes un peu le salon, histoire d’y voir plus clair, mais nous terminerions le reste demain.
Moi : Alors, t’a aimé ?
Castiel : Ouais. Nan vraiment vous avez fait fort sur ce coup là. Je m’y attendais pas
Moi : C’était l’objectif ^^
Castiel : Je me rappellerai de cette soirée longtemps
Moi : Mais elle n’est pas encore finie
Je vis mon petit-ami tourner la tête vers moi, comme si j’avais piqué sa curiosité. Je lui lançai un sourire énigmatique, avant de lui faire signe de me suivre. Nous montâmes dans ma chambre où je sortis de sa cachette mon avant dernier cadeau. Je lui tendis mon paquet.
Moi : Troisième cadeau
Lorsqu’il l’ouvrit, je le vis arquer un sourcil et son sourire en coin se dessiner.
Castiel : « L’homme idéal » ?
Moi : Oui. Car vois-tu, l’homme idéal est un mythe, mais son parfum une réalité.
Je me mis à tourner autour de mon petit-ami, lentement, suavement, comme un prédateur tourne autour de sa proie, en lui lançant mon regard de femme fatale séductrice. Maintenant prions pour qu’il rentre dans mon jeu.
Castiel : Alors comme ça…l’homme idéal n’existe pas ?
Moi : Non
Castiel : Tu n’as même pas trouvé quelqu’un qui y ressemble ?
Moi : Mmm ma foi… si peut-être
Castiel : Laisse-moi deviner, c’est quelqu’un d’imposant ?
Moi : Une pure tapette
Castiel : Gentil ?
Moi : Emmerdeur
Castiel : Populaire ?
Moi : Plouc
Castiel : De beaux yeux ?
Moi : Transperçants
Castiel : Abdos ?
Moi : Gras du bide
Castiel : Une belle voix ?
Moi : Une vraie casserole
Castiel : Beau gosse ?
Moi : Potable
Plus on avançait, plus je voyais son sourire s’étirer.
Castiel : Et… ses cheveux ?
Moi : D’une horrible couleur rouge
Je venais à peine de finir ma phrase que Castiel m’attrapa par le bras. Il me regardait droit dans les yeux
Castiel : Tu serais pas un peu en train de parler de moi par hasard?
Moi : Pourquoi, tu t’es senti visé ? Je suis sure que tu as tilté quand j’ai gras du bide
Castiel : Tu m’cherches là ?
Moi : Non, puisque tu es là :p Mais peut-être que…
Il ne me laissa pas le temps de finir ma phrase qu’il m’attira contre lui et m’embrassa
Mission accomplie ! Il avait compris le message. Ce qui est bien avec Castiel, c’est qu’il rentre toujours dans mes jeux. Heureusement sinon il aurait surement prit la mouche. Il arrêta de m’embrasser et me regarda dans les yeux
Castiel : C’est toujours comme ça avec toi les cadeaux d’anniversaire ?
Moi : Nan, j’ai voulu faire quelque chose d’original pour toi
Castiel : Et bien sache que tu vas devoir te faire pardonner car tu t’es moqué de moi
Je souris à sa remarque. Pauvre chouchou, je l’ai blessé. Mais j’avais compris où il voulait en venir.
Moi : Alors je sais exactement quoi faire
Je posai une main sur sa joue et vins l’embrasser. Ce baiser fut plus long, plus fougueux, plus passionné. Quand soudain, une idée machiavélique me traversa l’esprit. Et si on s’amusait encore un peu. Avec une infinie précaution, je sortis le parfum de sa boite. Puis d’un coup, sans que Castiel ne prévoie quoi que soit, je stoppai notre baiser et pshittai du parfum sur son visage et sur son tee-shirt. Il écarquilla les yeux, puis éternua fortement. Moi, j’explosai de rire. Encore mieux que prévu x)
Castiel : Oh toi tu perds rien pour attendre !
Il se mit à me courir après. Je démarrai au quart de tour. Nous tournâmes en rond dans la chambre, puis j’en sortis, avec toujours Castiel à mes trousses. Je riais aux éclats. Attention, Calamity Chloé est dans la place ! Je me retournai et pshittai encore sur Castiel. Il reçut le parfum en plein visage, le faisant s’arrêter brusquement et éternua une seconde fois. Mon rire redoubla, et je profitai de ce moment d’inattention pour fuir. Mais rapidement, il reprit ses esprits et se remit à ma poursuite. Je dévalai les escaliers et me précipitai dans le salon. Je sentais que Castiel se rapprochait dangereusement de moi. Je me mis donc à slalomer, entre la table, le canapé, les fauteuils. Mais malgré toutes mes feintes, Castiel continuait de se rapprocher. Bon, il temps de dégainer. Je voulus me retourner pour à nouveau asperger Castiel, mais c’est à cet instant qu’il me rattrapa. Nous nous rentrâmes dedans et nous tombâmes à la renverse sur le canapé. Le temps de réaliser ce qu’il se passait, Castiel se trouvait au-dessus de moi, un sourire carnassier sur le visage. Je crois que je suis cuite… Je tentai de mettre hors de porté le parfum, mais plus rapide, Castiel réussit à le saisir et le posa sur la table basse. Puis lentement, son regard se reposa sur moi. Il avait toujours son sourire féroce, et cette lueur malicieuse dans les yeux. Je sentais qu’il préparait quelque chose.
Moi : Alors…à quelle sauce je vais être mangée ?
En entendant ça, son sourire ne fit que s’étirer davantage. Son air se fit plus mystérieux, séducteur. La suite ne présageait rien de bon. Nous restâmes un très, très long moment à nous dévisager de la sorte. Castiel devait surement profiter de sa supériorité. Puis soudainement, sa main vint pincer ma taille. Je lâchai un petit cri de surprise. Son geste m’avait surpris, mais il avait aussi été agréable. Voyant l’effet que ça me faisait, le rouquin continua sur sa lancée. Il caressa mes hanches avant de remonter sa main lentement le long de mon corps. Il se pencha ensuite lentement vers mon cou. Je sentais son souffle chaud sur nuque. Mon corps fut parcouru de frissons. Cette sensation était douce, mais le fait qu’il me fasse languir comme ça, était une vraie torture. Puis enfin, il déposa ses lèvres sur ma peau. À ce contact, je ne pus réprimer un léger soupir. Il parsema mon cou de baiser, le mordant de temps à autre. Je sentais quelque chose grandir en moi. Quelque chose d’incontrôlable, de puissant.
Moi : Cast…
Mon petit-ami s’arrêta et posa ses yeux sur moi. Il me regarda comme s’il s’apprêtait à me dévorer. À ce regard de braise, je sentis le rouge me monter aux joues et mon corps s’enflammer. Lentement, il s’approcha, puis il prit possession de ma bouche. Notre baiser fut d’abord doux, puis passionné. C’était la première fois qu’il y avait autant d’ardeur. Les mains du rouquin caressaient mes hanches, tandis que les miennes étaient perdues dans sa chevelure. Puis, je posai mes mains sur son torse, et les fit glisser tendrement vers le bas, pour finalement les passer sous sa chemise blanche. Je sentis le corps de Castiel frémir à cette caresse. Je pus toucher du bout des doigts ses abdos. Soudainement, il s’arrêta, tout essoufflé. Je pus lire dans ses yeux du désir.
Castiel : On devrait s’arrêter. J’ai peur de ne plus pouvoir m’arrêter si on continue
Moi : Tu…t-tu n’as pas à t’arrêter
Le rouquin, en m’entendant dire ça, parut surpris. J’étais horriblement gênée, mais je ne pouvais pas faire marche arrière. Je ne voulais pas.
Castiel : Qu’est-ce que tu veux dire ?
Moi : Je…j-je suis….je suis prête….
Ça y est je l’ai dit. Et oui, c’était ça ma grande décision. J’avais décidé de sauter le cap. J’étais follement amoureuse de Castiel, et je voulais que ma première fois, ce soit avec lui. Je me sentais prête à quatre-vingt-dix pourcents. Je savais que je ne serais jamais vraiment prête à cent pourcent, mais il fallait que je me lance. Depuis un certain temps, les baisers fougueux de mon copain faisaient naître en moi des sensations que je n’avais jamais ressenti avant.
Castiel, qui fut d’abord surpris, eut un sourire doux.
Castiel : Tu es certaine ? C’est à toi de décider
Moi : Oui
Pour lui montrer que je mesurais chacune de mes paroles, je vins l’embrasser amoureusement. Oui j’étais prête. Délicatement, Castiel me prit dans ses bras, et monta à l’étage.
Arrivés devant la porte de ma chambre, mon petit-ami me reposa au sol. J’ouvris la porte et pénétrai à l’intérieur, suivie de Castiel. La porte claqua derrière moi. Me retrouver dans ma chambre me rendis subitement nerveuse. Il n’y avait que lui et moi. Seuls dans cet espace confiné.
Je sentais le souffle chaud de Castiel dans mon cou, là, tout près, si près… Je sentis la tension monter. J’étais comme pétrifiée, et mon corps se raidit. Je ne savais pas du tout quoi faire. Je ne savais absolument pas où commencer. Devais-je me déshabiller ? Devais-je lui retirer ses vêtements ? Devions-nous le faire en même temps ? Je me sentais de plus en plus confuse, inquiète. Étais-je vraiment prête à le faire ?
Je ne voulais pas qu’il me voit aussi faible, aussi vulnérable : nue. Allais-je lui plaire ? Il y avait trop d’incertitudes, trop de doutes. Soudain, les mains Castiel se posèrent délicatement sur mes épaules pour me détendre, et sa voix s’insinua dans mon oreille, douce, suave.
Castiel : Détend-toi, n’ais pas peur, je suis là
Il avait compris ce qui me torturait : mon ignorance. Je me retournais lentement mais sûre de moi pour lui faire face. Un large sourire se peignit alors sur son visage et son regard qui exprimait la fierté, l’envie, et l’amour se posa sur moi et me traversa de part en part.
Une éternité sembla s’écouler durant laquelle nous ne nous lâchâmes pas des yeux. Nous étions immobiles, profitant de cet instant unique. Je le regardais autant que je pouvais, gravant son visage, ses yeux, ses lèvres dans ma mémoire, pour m’en rappeler jusqu’après ma mort. Puis lentement, nous nous rapprochâmes mutuellement l’un de l’autre, sans échanger le moindre mot ni la moindre caresse. Nous étions juste là comme si c’était le but premier de notre existence, comme si tout ce que nous avions vécu auparavant n’avait que pour objectif que cet instant.
/ !\ LEMON / !\
Mes mains s’avancèrent, tremblantes, et déboutonnèrent progressivement sa chemise, dévoilant petit à petit son torse musclé. Je fixais alors intensément sa poitrine. Ses pectoraux semblaient à la fois fermes et chauds, tandis que ses abdos, tous plus beaux les uns que les autres, étaient un mélange d’une grande fermeté et d’une douceur absolue. J’approchais ma bouche et posais un baiser enflammé sur son torse puissant. Sa peau portait un parfum qui m’était alors inconnu : on aurait dit à la fois un mélange de menthe et de vanille. Quant au goût, je dirais simplement que c’était comme la plus douce des pâtisseries.
Enfin je me redressai et l’embrassai comme pour la première fois. Nos bouches se mêlèrent dans une union parfaite. Finalement Castiel entama des petits gestes rapides mais précis pour défaire ma robe qui finit par tomber très vite. Il posa ses mains sur mes fesses et m’embrassa fougueusement dans le cou. Ces baisers me procurèrent une sensation délicieuse. Je sentais mes défenses tomber une à une. Je posai ma mains sur sa tête pour lui faire signe de continuer, ce qu’il fit.
Soudain, ses bras s’enroulèrent sous mes fesses et il me souleva. Doucement il me déposa sur mon lit et me rejoignit en passant entre mes jambes pour venir déposer un baiser sur ma bouche qui en redemandait. Nous échangeâmes encore de tendres caresses et baisers.
Sentant le désir monter, je défis sa braguette et fis glisser son pantalon sur ses cuisses musclées. Nous nous retrouvâmes tous les deux dans la plus simple des tenues. Je pouvais sentir son corps brûlant de la fièvre de l’amour sur moi. Je baignais dans un océan de chaleur et de douceur. J’eus envie d’approfondir ce magnifique rêve et mon amant le comprit. Sa main glissa alors sous mon dos et défit mon soutien gorge. Mais la pudeur me reprit, et dans un geste gêné, je me voilai la poitrine avec mon bras. Il s’agissait des dix pourcents d’incertitude restants. J’avais peur qu’il n’aime pas mon corps. Mais Castiel, dans un murmure, me rassura
Castiel : Chloé…tu es absolument magnifique
Il vint m’embrasser et enleva délicatement ma main qui couvrait ma poitrine. Puis ses lèvres quittèrent mes lèvres pour descendre sur ma nuque, la naissance de mes seins, puis se posèrent enfin sur ma peau nue. À ce contact brulant, toute ma pudeur me quitta. Le désir qui s’écoulait en moi était maintenant insupportable. Je voulais sentir Castiel en moi, je voulais ne faire plus qu’un avec lui.
Déterminée, je fis glisser ma culotte et saisis le caleçon du rouquin. Il fut surpris par cette soudaine prise en main de ma part mais n’en fut que plus heureux. N’y tenant plus et en le regardant droit dans les yeux j’enlevai son dernier vêtement. Je pus lire dans ses yeux un désir pour moi incommensurable.
Castiel sembla s’illuminer d’une intense passion qu’il me rendit de cent baisers plus passionnés les uns que les autres. Il alluma soudain en moi une flamme qui n’avait jamais auparavant brûlée : celle de l’envie et de la passion.
Castiel, délaissa ma bouche, puis descendit m’embrasser jusque dans mes parties les plus intimes et sensibles. Je n’aurais jamais pensé ressentir une telle sensation ou penser qu’un tel plaisir existait. Et plus il continuait plus je me sentais envahie de ce bien être jusqu’au plus profond de âme. La flamme que Castiel avait allumée brulait d’un feu plus ardent que celui d’un volcan mais elle n’était pas rassasiée. Toujours plus avide de telles sensations j’inversai les rôles.
Castiel se retrouva soudainement plaqué sur le lit et moi sur lui. Pendant que ses yeux brillaient plus que jamais, je m’emparai de ses lèvres. Je voulais lui transmettre tout mon amour. Je voulais que cette première fois soit unique, aussi bien pour moi que pour lui. Je voulais effacer tout souvenir des autres filles, pour qu’il n’y ait que moi. Je voulais être la seule à occuper ses pensées.
Tandis que nous nous embrassions, mes mains caressaient le torse musclé du rebelle. Puis, j’entrelaçai mes doigts avec les siens et emprisonnai ses mains, que je plaçai au niveau de sa tête. J’entrepris d’embrasser amoureusement son cou puis sa large poitrine. Je sentis tout son corps se raidir pour se détendre dans une extase plus intense que jamais. Je voulais marquer chaque parcelle de ce bel homme par mes lèvres. Il m’appartenait. Maintenant et pour toujours.
N’y tenant plus, les jambes de Castiel s’enroulèrent autour de moi et nous inversâmes de position. Castiel, plongea son regard argenté dans le mien, comme attendant mon consentement pour passer à l’étape finale. Nous étions tous les deux rongés au plus profond de nos êtres pas le désir. D’un petit hochement de tête, je lui donnai mon consentement d’aller plus loin. Il vint tendrement m’embrasser. Puis doucement je le sentis en moi. Je ressentis tout d’abord de la douleur. C’était normal, c’était la première fois. Mes mains se crispèrent sur son dos, et Castiel m’embrassa plus fort pour que j’oublie ce mauvais moment.
Mais bien vite la douleur se dissipa, pour laisser place à une chaleur bienfaitrice. La sensation fut inimitable, indescriptible : unique. Un bonheur, une passion et un bien sans pareille nous transpercèrent. Nos corps se mouvaient ensemble dans une danse plus torride que n’importe quel tango. Nous étions en parfaite symbiose, plus vivants et plus heureux que jamais. Nous ne faisions enfin plus qu’un.
/ !\ FIN LEMON / !\
Je n’en revenais pas. Je l’avais fait. Et ça avait été le plus beau moment de toute ma vie. Mon petit-ami m’avait fait vivre des sensations que je n’aurais jamais imaginées. Nous nous étions prouvé notre amour toute la nuit durant avec passion. Maintenant, nous reposions dans les bras de l’autre, reprenant notre souffle, en nous regardant dans les yeux en souriant. J’entendais le cœur de Castiel battre à une allure au moins aussi folle que le mien. J’étais comblée. Je portai une main à sa joue et la caressai tendrement.
Moi : Joyeux anniversaire Castiel
Le rouquin me sourit, et m’embrassa tendrement. C’était la première fois que j’étais aussi amoureuse. Faire ma première fois avec Castiel était la meilleure décision que je n’avais jamais prise, et jamais je n’oublierai cette merveilleuse nuit.
Castiel : Tu ne pouvais pas me faire de plus beau cadeau. Je t’aime Chloé
Moi : Je t’aime aussi
Castiel : C’était ça ton quatrième cadeau pas vrai ?
Moi : Oui
Castiel : Mais tu sais que maintenant que je suis majeur, je peux aller en prison pour abus sexuel sur mineur ?
En entendant, je me mis à rire. Carrément, abus sexuel. J’étais quand même un peu consentante. Mais, bon c’est vrai que du point de vue de la loi, c’était illégal.
Moi : Ah oui, j’avais oublié que je sortais avec un petit vieux x)
Castiel : Ah ouais ?! Tu vas voir de quoi il est capable le p’tit vieux !
J’émergeai du sommeil en début d’après-midi. La nuit avait été torride, mais ô combien merveilleuse. Pour une fois, je m’étais endormie en cinq minutes. Et ce matin, je me sentais…différente. Je me sentais femme. J’avais définitivement quitté l’enfance.
En tournant la tête, je vis que la place à côté de moi était vide. Castiel était donc déjà debout. J'enfilai ma culotte et la chemise du rouquin.
En allumant mon téléphone, je vis que j’avais reçu deux messages. Un de la part de Lys, l’autre de Rosa. Le premier disait « Alors ? », et le second « Alors, c’était comment ???????????????? ». Je vous laisse deviner lequel est celui de Rosa x) Même par message, elle en fait toujours des tonnes. Je répondis à Lysandre « Mission accomplie » et à Rosa « Génial ! ^^ ». Je sens que je ne vais pas échapper à quelques commentaires demain au lycée.
Je descendis à la cuisine, en quête de mon copain. ce dernier se trouvait dos à moi, en train de faire la cuisine. Je m'approchai discrètement de lui, enroulai mes bras autour de sa taille et posai ma tête sur son dos.
Moi : On mange quoi ?
Castiel: Pâte et viande. Ça te dérange pas ?
Moi : Nan c’est bon.
Il se retourna vers moi, et je lui donnai un petit bisou, ce qui le fit sourire.
Moi : Salut
Castiel : Salut
Et oui. D’abord demander ce qu’on bouffe et APRÈS dire bonjour x) Je vis les yeux de mon petit-ami descendre sur ma tenue légère. À cette vue son magnifique et irrésistible sourire en coin se dessina.
Castiel : J’aime bien ta tenue
Moi : La tienne est pas mal non plus
Lui, ne portait qu’un short. Autrement dit, j’avais la plus belle des vues sur ses abdos. Je suis pas sure d’arriver à rester concentrée moi x)
Nous mangeâmes tranquillement, puis rangeâmes les derniers trucs qui restaient au salon.
Moi : Tiens tu peux passer la serpillère pendant que je monte ça en haut ?
Castiel : Ouais
Je tendis le balais au rouquin, tendis que je montai à l’étage avec un carton rempli de la déco d’hier. Je partis le ranger au fond d’un placard dans la chambre d’amis. Puis redescendis au salon. Arrivée en bas des escaliers, je pus apercevoir Castiel à l’œuvre. Je ne pus réprimer un sourire moqueur. On sentait qu’il devait pas souvent passer le balai chez lui.
Partout où il passait, il laissait des traces derrière lui, et à chaque fois qu’il retournait les effacer, il en faisait de nouvelles. Il commença à s’énerver et à jurer dans tous les sens
Castiel : Putain de balais à la noix de son @ !# ?!:=@grh !!# ?<%* !!
J’explosai de rire. Cette scène était juste digne d’un cirque. Ses petits jurons finirent par se transformer en insultes, et des larmes commencèrent à couler de mes yeux tellement je riais
Castiel : Mais bordel de merde !! C’est quoi ce balais à la con ?!!# !<fhpz@!^=+ùz%µ$>/@!!!! Et toi arrête de rire comme une bouffonne et vient m’aider!!
Moi : J’arrive j’arrive x)
Je descendis de mon perchoir et volai à la rescousse du rebelle, qui visiblement n’avait pas reçu son diplôme de femme de ménage. Je lui montrai que le balai se passait en reculant, pour effacer toutes les traces de notre passage. Il se contenta d’hausser les épaules et à la place, partit finir de ranger. Halala je vous jure x)
La journée se passa tranquillement, lentement. Puis fatalement, lundi arriva avec tous les mauvais présages qui vont avec : les cours, les profs chiants, les interros surprises et tout le tralala. Nous nous rendîmes donc au lycée en moto. À peine fûmes nous arrivés que Rosa me tira par le bras et m’entraîna à l’écart.
Rosa : Alors ? Alors ?!!!! Raconte-moi tout
Moi :Je t’ai déjà dit. C’était génial
Rosa : Nan mais c’était la conclusion. Moi je veux l’introduction et le développement. La totale quoi !
Ça me gênait un peu de parler de ça, mais elle était mon amie, et au courant depuis le début de mon projet, alors je pouvais bien lui raconter un peu.
Moi : Ba….
Fin PDV Chloé
PDV Castiel :
Alors que Chloé s’était faite enlevée par Rosa, mon meilleur ami s’approcha de moi, un large sourire sur le visage, et posa sa main sur mon épaule. Je le dévisageai avec suspicion. C’est quoi encore le problème ?
Moi : C’est quoi ce sourire bête ?
Lysandre : ^^
Quand il faisait cette tête, soit il avait quelque chose derrière la tête, soit il était au courant de quelque chose. Bizarrement, et le connaissant, je supposai que c’était la seconde solution.
Moi : Laisse-moi deviner…t’es au courant c’est ça ?
Lysandre : Hmm hmm ^^
Moi : Mais comment tu fais pour être toujours au courant de tout ?! C’est de la sorcellerie à ce rythme là !
Lysandre : Mais non x) C’est juste que quand on parlait des préparatifs de ton anniversaire, Chloé nous a confié son projet.
Moi : « Nous » ?! Il y a qui au courant ?
Lysandre : Moi, Rosa et Leigh
Moi : Ça va…j’ai pas envie d’être harcelé par tout le monde.
Lysandre : Alors ?
Moi : Quoi toi aussi tu t’y mets ? Faut que ta belle-sœur arrête de déteindre sur toi sérieux
Lysandre : Peut-être mais toujours est-il que je suis ton meilleur ami et que j’ai le droit d’être au courant
Moi : Ba franchanchement…c’était bien…vraiment bien. C’était la première fois que je ressentais ça
Lysandre : Je suis vraiment heureux pour toi Castiel.
Rosa et Chloé revinrent vers nous. Elle et moi nous échangeâmes un regard entendu. On s’était tous les deux fait cuisiner.
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Coucou tout le monde! J'espère que ce chapitre vous a plu ^^
Alors, qu'en pensez-vous des derniers cadeaux de Chloé? Je crois que pas mal d'entre vous avait déjà trouvé pour la surprise finale ;)
Je tiens à remercier mon ami qui m'a aidé à écrire le lemon. Je ne vous dirais pas son nom, mais il se reconnaîtra ^^ Donc merci beaucoup mon gros! ^^ Ce lemon n'est pas très hard, mais voilà. On a fait de notre mieux, en espérant qu'il vous a plu. Allez les pervers montrez vous !! x)
Voili voilou! A la semaine prochaine ;)
Bisous les gens <3